Comme nous avons eu le désagrément de croiser quelques personnes s’affichant de plus en plus dans Beuvry et qui apprécient peu que nous ayons développé des argumentaires(*) sur ce blog :
1- qui n’avaient pas l’heur de leur plaire, parce que soulignant d’autres possibilités étayées moins coûteuses pour un résultat au moins équivalent et surtout nettement plus durable ;
2- qu’ils avaient négligé lorsque nous les leur avions présentés et donc que nous avons relaté sans leur autorisation expresse, sur la base d’un droit d’exclusivité qui n’existe que dans leur imagination ;
3- qu’ils avaient refusé sur la base de l’humeur plus frivole du moment où un tel exposé ne se justifiait pas car jugé alors de trop peu de valeur.
(*) Vous avez le choix entre n°1, n°2 et n°3. Mais il est possible au final de faire un panachage et/ou un cumul…
Ni d’ailleurs les gentilles réactions qu’elles ont provoquées sur d’autres supports en comparaison avec la gravité de leurs attitudes et actions.
On pourrait donc enfin comprendre l’attitude de ces personnes dans Beuvry (62660).
Mentir, c'est mal...
Sauf quand c'est bien.
Enfin, d’après ce qu’elles disent, écrivent, et surtout font écrire et mettre en images…
Que ce soit après être passé du noir et blanc difficilement et tardivement à la couleur ou grâce à diverses sources de financement avoir directement opté pour la polychromie sur grand écran.
En tout cas, y'a débat, non ?
Amusant révélateur de la culture que celle de ces gens-là.
En effet, leur réflexion semble de plus en plus se justifier avec un article du magazine scientifique : Cosmopolitan
Intéressant article qui justifierait leur façon de penser et d’agir, article où l’on s’autorise au mensonge mais pour la «bonne cause». Leur cause !
Ces gens-là pour se défendre ne savent d’ailleurs que juste retourner la remarque aux observateurs engagés qu’en imitant les Saducéens et les Pharisiens qui le firent déjà il y a 2000 ans en préparant leurs mensonges pour crucifier ce qu’il fallait faire taire… Juste pour rappeler une anecdote à ceux qui aiment les vieilles pierres où sont encore gravées quelques vérités.
Mais où sont les argumentaires ?
Mais qu'est ce que mentir et pour quelles raisons mentent-elles ?
Ce sont des questions que nous nous posons depuis bien des jours.
Parce que le mensonge est une thématique complexe et passionnante, qui fait appel à plusieurs champs théoriques et plusieurs domaines d’études.
A Beuvry (62660) aussi et sur-tout, le mensonge peut être défini comme une intention délibérée de tromper autrui… Environ 9 000 autruis
Petite précision pas si inutile que cela, notamment pour les intégristes et sympathisant(e)s du dictionnaire : les victimes du mensonge n'en sont pas averties. Ce qui différencie d'ailleurs le mensonge de l'ironie, dans laquelle les victimes comprennent qu'il faut comprendre le contraire de ce que dit le locuteur.
Et toc, réfléchissement… !
Une personne peut tromper ses interlocuteurs de deux façons : par omission et par falsification.
A- Le mensonge par omission revient à ne pas dire quelque chose qui devrait être dit, concrètement cela revient à supprimer un élément du discours.
Pour cela un ou plusieurs supports multimédias, ça peut être utile.
- Le mensonge par falsification est le fait de construire de toute pièce une information, d’inventer un souvenir, de créer un discours.
A Beuvry, ça commence surtout pour certain(e)s par effacer les (mauvais) souvenirs. Pour d’autres ça commence par en créer suffisamment de toutes pièces…
Le mensonge peut avoir plusieurs raisons.
C- Si le but du mensonge est dirigé vers quelqu'un d'autre, dans le but de le protéger ou de ne pas le vexer, le mensonge est dit altruiste.
Ce qui n’est pas le cas des personnes qu’on représente un peu partout dans Beuvry.
- Au contraire, si le mensonge est fait pour assouvir ses propres finalités, le mensonge est alors dit égoïste.
Ce qu’on peut supposer avec un fort taux qui donnerait une majorité de certitudes à Beuvry…
Le mensonge met en jeux un certains nombres de processus cognitifs et émotifs qui vont s’exprimer volontairement et involontairement, au travers de plusieurs indices.
Ces indices vont s’exprimer au travers de trois canaux de communication :
1- le verbal (la linguistique, les mots…),
2- le para verbal (ton de la voix, durée des pauses...),
3- le non verbal (expression faciale, gestes…).
Quelques petites choses que nous leur avons dites de vive voix.
Mais que ces personnes ont tout normalement ignoré !
Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour.
Ce qui se construit sur le mensonge ne peut pas durer.
La vérité existe. On n’invente que le mensonge.
Un mensonge ne peut jamais être effacé. Même la vérité n’y suffit pas.
Un menteur ne peut pas mentir qu'en fermant sa large bouche.
Il n'y a pas de menteur, mais une personne avide d’illusion.
Si on ment, il faut mentir jusqu'au bout. Il faudra faire du mensonge son acte de foi.
Ce qui est navrant, ce n'est pas qu’une personne ait menti, c'est que désormais, personne ne pourra plus la croire.