Pour éviter à toute personne une histoire de fatigue inutile, avertissons.
Qu’elle se contente de copier-coller sans chercher à comprendre.
De plus, ce qui suit ne venant pas de Wikipédia, nous l’indiquons de suite afin d’y éviter toute recherche.
Pour ces personnes, voilà un article dont l’intérêt peut être limité pour un visiteur de blog à vocation généraliste. Mais qui sait, l’avenir pourrait contredire cette hypothèse…
Car, quand les fonds sont bas et que l’appétit est toujours là comme maintenant, il serait possible que ce soit au fond que l’on trouve de quoi subvenir à ses besoins.
Donc, lors d’une promenade dans le bois d’Olhain, nous avons été longuement interrogés ce week-end par des personnes qui avaient été intéressées par notre article relatif à la probabilité de stockage souterrain dans notre zone géographique de toutes sortes de matières.
Dont les déchets et rebus.
Cet article leur est donc destiné, comme on dit à Beuvry, en priorité.
Rappel : Cette recherche est un des prolongements de l’étude que nous avions faite pour un débat qui s’était tenu avec des personnes inquiètes du stockage de chlore sur le territoire de la commune de Beuvry (62660).
Recherche complétée sur la base d’une possibilité de stockage souterrain à proximité de Beuvry dans un sous-sol présentant des interconnexions connues naturelles à d’origine humaine.
Elle se base sur des informations provenant d’organismes officiels, cette fois-ci encore de chez nos cousins de l’autre côté de l’Atlantique.
Ce stockage serait pour de nombreuses personnes (dont des non spécialistes) plus qu’envisageable dans notre région au passé minier bien connu.
Pour le moment (c'est-à-dire maintenant comme disent ces mêmes personnes) et pour ne pas changer, le frein le plus sérieux à un développement de ce système résiderait dans l’état actuel d’abandon où se trouvent ces espaces souterrains qui exigerait des investissements préalables conséquents
Notons toutefois que si les capacités et les coûts de transport, manutention et traitement en surface venaient à s’élever l’intérêt pour une requalification de ces sous-sols deviendrait tout autre.
Et l’intérêt qui lui serait porté, tout autre.
Surtout quand dans le montage financier à cette fin, on verrait poindre quelques (nombreux) deniers publics pour lesquels leurs dépositaires n’ont pas les réellement mêmes objectifs que les entreprises privées pouvant y être associées…
Des bénéfices de photos contre des photos de bénéfices.
Le court terme contre le moyen terme.
Mais dans des conseils bien différents !
Le second frein viendrait lui de la nature des matières, substances, objets entreposés.
De même pour les associations-réactions pouvant provenir à plus ou moins longue échéance par « vieillissement naturel» des contenus et contenants ou par accident.
Sachant qu’aucune étude sérieuse n’existe à ce jour pouvant fournir d’estimation fiable sur une durée plutôt longue.
Une étude sénatoriale est d’ailleurs en cours sur ce sujet actuellement afin d’avaliser toute possible réalisation industrielle.
Nous n’avons pu sur ce point que rappeler à nos interlocuteurs que la mise en place d’un système d’archivage suffisamment détaillé offrirait un premier degré de prévention minimal avec la réalisation de « fiches signalétiques » comme indiqué sur le schéma à l’époque.
Et que donc, une fiche signalétique sur la sécurité des substances pour tout produit devrait renseigner sur les effets que l’exposition à ce produit pourrait avoir sur la santé, l’incendie, la réactivité et l’environnement ainsi que sur la manière de travailler en toute sécurité avec le produit.
Elle constituerait un point de départ essentiel pour l’élaboration d’un programme global de santé et de sécurité. Elle contiendrait des évaluations des dangers liés à l’utilisation, à l’entreposage et à la manutention des produits entreposés ainsi que les mesures à prendre en cas d’urgence.
Cette signalisation devrait aussi contenir assez de renseignements complémentaires à ceux qui figurent sur les documents indicatifs fournis par le fournisseur ou le fabricant du produit :
- dangers inhérents au produit et la manière de l’utiliser sans danger,
- risques encourus si les recommandations n’étaient pas suivies,
- mesures à prendre en cas d’accident, la manière de reconnaître les symptômes d’une (sur)exposition,
- mesures à prendre si de tels incidents survenaient.
Cettee fiche signalétique, comme celles élaborées au Canada, au devrait comporter au moins les éléments suivants :
1- Information sur le produit : identificateur du produit (nom), nom et adresse du fabricant et des fournisseurs ainsi que des numéros de téléphone pour les appels d’urgence.
2- Ingrédients dangereux.
3- Caractéristiques physiques.
4- Données sur les risques d’incendie et d’explosion.
5- Données sur la réactivité : renseignements sur l’instabilité chimique d’un produit et sur les substances avec lesquelles il peut entrer en réaction.
6- Propriétés toxicologiques : effets sur la santé.
7- Mesures de prévention.
8- Premiers soins.
9- Information sur la préparation de la fiche signalétique : nom de la personne responsable de sa préparation et date à laquelle elle a été préparée.
Attention, s’il y a encore quelques années ces fiches étaient destinées à des spécialistes.
Aujourd’hui, nombreuses et diverses peuvent être les personnes appelées à les lire. Et donc afin d’assurer que ces utilisateurs soient en mesure d’accéder rapidement à l’information dont ils ont besoin, celle-ci devrait être présentée selon un format facilement lisible et être écrite de manière claire, précise et compréhensible.
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Mais là, ce serait un autre prolongement de l’étude. Et c’est ici déjà beaucoup pour un dimanche qui se doit de rester familial.
PLOUF !