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21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 00:38

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Les citations sur la politique entendue dans Beuvry

 

Nous n’avons rien ajouté, juste noté pour ne pas en oublier.

Ceci afin de vous offrir des veilles moins tristes

de lendemains qui chanteront dans des couleurs

où les derniers espoirs risquent fort de fondre comme neige…

 

Les élues auraient une devise pour leurs craintes : les murs ont des oreilles. Et une autre pour se rassurer : les oreilles ont des murs.

 

La région est un pays extrêmement fertile. On y planterait des élues pour six ans et il y pousserait des remboursements d’emprunts sur beaucoup plus de temps.

 

Une municipalité serait une chose avec un bras long et un bras court : le long servirait à prendre tout ce qu’elle peut et arrive partout pour laisser des traces ; le bras court servirait à donner de manière sélective mais il arrive seulement à celles et ceux qui sont tous près.

 

Une cérémonie de vœux, ce ne serait qu'une certaine façon d'agiter les personnes qui se sont déplacées avant de s'en servir.

 

Les politiciennes, seraient comme les couches... Il faut les changer de temps en temps... et pour les mêmes raisons d'ailleurs.

 

Une élue, c'est comme la sainte Vierge: si on ne la voit pas de temps en temps, le doute s'installe. L’inverse aussi d’ailleurs quand on y pense…

 

Faudrait-il garder espoir si on entendait une élue dire : « Je pense que nous sommes d'accord sur ce point : le passé est terminé ! »

 

Si une municipalité créait une taxe locale sur la connerie, elle serait tout de suite auto-suffisante.

 

Guillaume Bachelay, Secrétaire national à l’industrie du PS, en visitant Beuvry aurait pu répéter ce qu’il a dit en parlant de Ségolène Royal : « Qu’on commette des erreurs en politique c’est possible ; qu’on les commette toutes, c’est fou ! ».

 

Si vous entendiez des élues dire : « Les gens s'attendent à ce que nous échouions. Notre mission est de dépasser leur attente ! » pourriez-vous les croire ?

 

C'est l'immobilisme qui conduirait notre région au gouffre.

 

Les élues risquent fort très vite de faire passer Beuvry d’une commune qu’elle aimeraient « bling-bling » à une commune qu’elles laisseront « couac-couic » 

 

Beaucoup d’élues ignorent la puissance profonde des propos de Martine Aubry : "Aujourd'hui la parole est au dialogue".

 

Une municipalité serait un groupe de personnes qui connaît le coût de tout et la valeur de rien, sauf la sienne ?

 

Les élues craindraient fort que depuis quelques semaines la municipalité se laisse électrocuter par ses courants.

 

Des élues n’apprécieraient pas Lionel Luca, député des Alpes Maritime, pour sa formule : « Il n’y a pas besoin d’être de droite ou de gauche pour dire des conneries ».

 

Les élues expliquent à leurs opposants que le système des quotas a été inventé par un sénateur romain : Numerus Clausus.

 

On a cru entendre un grand opposant élu dire en conseil municipal : « À la lumière des doutes qui obscurcissent la confiance de la population dans la municipalité, nous trancherons bientôt ! »

 

Les élues devraient-elles craindre de Martine Aubry, 1ère Secrétaire du PS qu’elle ne lui dise la même chose : « Ségolène Royal aura la place qu’elle souhaite dans le PS, même si la plupart sont déjà occupées ».

 

Une élue est une personne qui se débrouille bien avec les chiffres mais qui manque d'un peu de personnalité pour devenir comptable donc responsable des comptes.

 

"Le pouvoir implique la responsabilité. Qui a plus de pouvoir a donc plus de responsabilité" aurait prédit Lionel Jospin à certaines élues.

 

Une élue opposante souffrant d'une extinction de voix momentanée, aurait dit à une autre assise plus loin au fond « Souvent les courants d’air proviennent de ce qu’il y a trop d’ouvertures ».

 

Il y a au moins une élue qui aimerait emprunter à Lionel Jospin ce qu’il disait : « Rester ferme quant aux fins, savoir être souple quant aux moyens ! »

 

"Face à un problème, il n'y a pas 36 solutions : il faut lui trouver une solution" répèteraient souvent des élues en citant aux journalistes Edith Cresson.

 

Les élues seraient d’accord avec Jean Christophe Cambadélis qui a dit :" Nous ne devons pas céder à la panique, mais la situation est catastrophique".

 

 

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